Une théorie en cours de développement sur les canaux de transmission de la masse monétaire
Introduction
Cette théorie a pour objectif de décrire et d’expliquer, du point de vue de l’auteur, les différents canaux de transmission de la masse monétaire au sein de l’économie. Son élaboration est progressive et fait l’objet d’enrichissements continus. L’auteur se propose ici d’offrir une vision nouvelle ou alternative, en s’appuyant sur des analogies et des observations tirées de différents contextes.
[Espace réservé à la mise en contexte ou la justification théorique de l’auteur]
L’auteur peut utiliser cette zone pour décrire l’angle d’approche, les motivations de sa recherche,
ainsi que les questionnements initiaux qui ont abouti au développement de la théorie.
« Une grande doctrine ou théorie révèle le Principe qui légifère et gouverne le monde et elle constitue un analogon abstrait/idéal du fonctionnement de l’Univers. Elle permet ainsi de contempler la vérité cachée de l’Être du monde ; on comprend dès lors le sens contemplatif originel du terme “théorie”, qui en indique le caractère existentiel. De plus…, il y a au cœur des doctrines ou théories un noyau d’idées maîtresses, répondant aux grandes obsessions cognitives assurant une communion ontologique avec le réel, et procurant un sentiment de plénitude. Autour de ce noyau s’articulent des justifications, empiriques, logiques, idéologiques qui établissent à tous les niveaux, l’adéquation entre la théorie et le réel. Dans ces conditions, ce n’est pas seulement une bienheureuse et évidente harmonie qui s’établit entre la théorie et le réel, c’est aussi une identification secrète par magie analogique qui s’opère entre l’analogon théorique et le monde réel. Dès lors, la théorie donne à l’esprit, dans sa communication devenant communion avec le monde, le sentiment évident de posséder le monde et d’en être possédé. Ainsi la contemplation théorique de la vérité s’allie à la possession possédée de cette vérité. Une telle alliance procure à la connaissance théorique une qualité pré-ou péri-extatique, voire mystique. La composante pré-extatique et mystique se trouve, non dans la théorie elle-même, évidemment, mais dans l’adhésion à sa vérité. »
E. Morin. La connaissance de la connaissance. p. 133
Corps de la théorie : Les canaux de transmission de la masse monétaire
Définition du canal de transmission de la masse monétaire (la monnaie vue de nos partenaires développés)
Comme le sang circule dans les vaisseaux sanguins de l’homme, notamment les artères, les capillaires et les veines
pour servir les organes du corps humain, la monnaie circule à travers des voies appelées « canaux de transmission
de la masse monétaire » pour servir les marchés, notamment les marchés réels et financiers de l’économie.
Le sang, quand un homme en manque, il est anémié ; en revanche quand l’homme en a en quantité suffisante,
il peut en donner pour sauver des vies humaines. De la même manière, la monnaie, quand une banque centrale
en produit une quantité insuffisante, l’économie est affaiblie, c’est-à-dire sous-financée ; cependant lorsque
les autorités centrales en injectent suffisamment, les agents économiques peuvent s’en servir pour financer
les activités de production et de consommation, donc sauver des vies humaines.
L’économie est « inflationnée » seulement lorsque la banque centrale injecte par des voies directes et peu nombreuses des quantités incontrôlables de liquidité dans l’économie. En somme, les canaux de transmission de la masse monétaire sont des porches de financement qui absorbent la masse monétaire contrôlée par les autorités centrales. En effet, il existe plusieurs canaux de transmission de la masse monétaire dans l’économie. Les plus importants sont énumérés et analysés ci-dessous.
Il y a deux types de canaux de transmission de la masse monétaire : les canaux courts et les canaux longs. Toute émission monétaire ou injection de liquidité dans l’économie est précédée de l’impression des billets de banque. Cependant, lorsque la quantité de monnaie imprimée est injectée dans le système économique par les canaux courts, on parle de planche à billets. Par exemple, la banque centrale finance directement l’État sans passer par un intermédiaire financier ou non financier.
En revanche, lorsque les billets de banque imprimés sont injectés dans le système économique par les canaux longs, on parlera de politique monétaire non inflationniste. Par exemple, la banque centrale finance les banques commerciales qui, à leur tour, financent l’État. Par contre, lorsque la monnaie est injectée par les canaux courts, on parlera de politique monétaire inflationniste.
C’est la complexité des systèmes qui nous gouvernent qui détermine la quantité de monnaie à injecter dans l’économie, contrairement à ce que nous enseigne le modèle standard qui suppose que l’émission monétaire est dépendante du niveau général des prix. En effet, pour combattre efficacement l’inflation, il faudra identifier les canaux longs et injecter la liquidité dans l’économie par le biais de ces canaux longs. En d’autres termes, la banque centrale qui conduirait une politique monétaire efficace est celle-là qui poursuivrait l’objectif de conquête des canaux de transmission longs et prendrait le soin d’émettre la liquidité par ces canaux longs.
C’est la complexité des besoins de tous les agents économiques dans un pays (individus, consommateurs, entreprises, gouvernement central, collectivités locales, partenaires commerciaux) – c’est-à-dire la diversité des tâches exigeant une mutualisation des efforts individuels, une division intensive du travail pour produire une variété de biens et services susceptibles de satisfaire la matrice des exigences de la vie – qui déterminent l’offre de crédit créée par la demande de monnaie que l’ensemble des acteurs économiques de cette société exprime de façon dynamique.
L’auteur pourra détailler ici les hypothèses de base, la portée et les limites de la théorie, ou d’autres considérations spécifiques.
Les différents canaux de transmission de la masse monétaire
Il existe, en effet, plusieurs canaux de transmission de la masse monétaire dans l’économie. Les plus importants sont énumérés et analysés ci-dessous. en cours.........
Études empiriques et analyses supplémentaires
L’auteur pourra présenter ici des données chiffrées, des exemples concrets ou des scénarios simulés pour appuyer ou nuancer la théorie.
Conclusion et perspectives
[Conclusion en cours de développement]
L’auteur pourra conclure ici sur la portée actuelle de la théorie,
suggérer des pistes de recherche futures et préciser les prochaines étapes de son travail.
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